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 Arielle | Est-ce qu'une vie meilleure, nous attend dès demain, ne doute pas puisqu'il est l'heure ...

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Arielle « Ever » Mellark
Arielle « Ever » Mellark


ღ Installation le : 16/06/2013
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ღ Célébrité : Yvonne Strahovski
ღ Age : 29 ans

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MessageSujet: Arielle | Est-ce qu'une vie meilleure, nous attend dès demain, ne doute pas puisqu'il est l'heure ...   Arielle | Est-ce qu'une vie meilleure, nous attend dès demain, ne doute pas puisqu'il est l'heure ... EmptyLun 5 Aoû - 11:37


Arielle Everleen Mellark

— noms — Mellark — prénoms — Arielle Everleen — surnoms — Aria, Elle, Ever et Mel sont les plus fréquents, mais il y a aussi Ary, Ella, Evy, Leen, et bien d'autres encore, à vous de choisir — date et lieu de naissance — 30 mars 1984 sur l’île de Bora Bora — âge — 29 ans — statut matrimonial — célibataire — sexualité — hétérosexuelle, mais n’a jamais rien tenté d’autre — groupe — money can’t buy happiness (résidente permanente) — sur l'île depuis — la naissance — mon métier actuel — gérante du café situé à Vaitape — mon porte bonheur — un pendentif représentant une colombe et un coeur, offert par ma mère quand j’étais petite fille — ils ne me quittent jamais — mon pendentif et mon iphone — mes grands favoris — le chocolat, mon vélo, ma séance de sport quotidienne, ma vie sur cette île — ce que je déteste — les mensonges, les choux en tout genre (légumes), être célibataire — ma chanson du moment — Treasure de Bruno Mars

Parler de moi, de mon caractère n’est pas franchement dans mes habitudes. J’ai toujours eut du mal à me définir en des termes clairs et dans mon esprit une personne ne peut être objective en parlant d’elle-même et en se décrivant. Je vais malgré tout tenter de l’être au maximum. Si vous devez retenir de moi une chose importante, c’est que je suis quelqu’un de surprenant. Je trouve toujours le moyen de mettre tout sans dessus dessous et d’avoir l’attitude qu’on n’aurait surtout pas attendue de ma part. Et il faut avouer que j’aime ca, que les gens ne s’attendent pas à mes réactions et à ce que je peux faire ou dire. C’est également pour cela que derrière une apparence de jeune femme calme et posée qui tient le plus sérieusement du monde son petit café, il y a surtout une femme vivante et légèrement fêtarde sur les bords. Je ne suis pas du genre à sortir tous les soirs et à me mettre la tête à l’envers à chaque fois, mais j’aime m’amuser et profiter de la vie. Je suis également une personne sportive. Il me faut ma dose de sport et d’énergie dépensée dans la journée pour me sentir bien et être au meilleur de ma forme. Mais attention, car derrière mes airs de fille adorable, gentille, généreuse, attentive et maternelle, je suis aussi et surtout quelqu’un de capricieux et d’une jalousie parfois maladive. Ne vous tentez pas à me faire du mal, à moi ou à un de mes proches car sans cela vous risqueriez votre vie. Je peux devenir extrêmement méchante lorsqu’on me veut ou me fait du mal. Je pense que vous en savez suffisamment pour l’instant, pour en découvrir plus sur moi, il vous faudra apprendre à me connaitre par vous-même.

Je fais partie des heureux veinards à résider sur l’île à l’année et ce depuis ma naissance. Mes parents étaient eux même très jeunes encore lorsqu’ils se sont rencontrés et se sont installés sur l’île. A cette époque là, ils cherchaient tous les deux du boulot, attendaient une occasion de rêve et sont tombés sur une annonce qui leur a paru idéale. On leur proposait de partir pour Bora Bora pour s’occuper de deux petits commerces, à priori une auberge et un café, et surtout s’occuper des nouveaux arrivants sur l’île, des milliardaires dont il fallait prendre grand soin. Les emplois étaient surs, ils ne risquaient pas d’arriver sur l’île et d’être refusés car il y avait du boulot pour s’occuper des nouveaux arrivants qui ne cessaient de débarquer sur l’île depuis qu’elle était privatisée. Ils n’ont donc pas hésité bien longtemps avant de sauter sur l’offre et de rejoindre l’île. C’est idéal pour eux de venir vivre ici et quelques moins plus tard seulement ils y construisaient leur famille. Je suis née à peine un an après leur installation et une petite sœur à suivit quelques années plus tard. Tous les quatre nous étions heureux, n’avons jamais eut à nous plaindre de notre vie ici même si elle était modeste et que nous n’avions pas autant d’argent que tous nos voisins. Enfin pour moi et mes parents elle était parfaite ainsi, pour ma sœur c’est une autre histoire.

J’ai eut la chance d’avoir été conçue, mise au monde et élevée sur cette île. J’y ai d’ailleurs passé toute ma vie jusqu’à ce jour. Je ne l’ai pas quitté plus de quelques jours pour des voyages d’écoles ou des vacances avec mes parents, lorsqu’ils pouvaient en prendre. J’ai toujours été heureuse de vivre ici et pour moi il n’y a pas mieux ailleurs. Je ne cherche pas à déménager ou à quitter ma vie actuelle. Elle est tout ce dont j’ai besoin, j’aime être aux services des milliardaires dont il faut s’occuper et je ne me lasse pas de gérer le café dont s’occupait ma mère par le passé. Je n’ai pas hésité une seconde lorsqu’elle m’a demandé de prendre la relève à la mort de son père il y a quelques années. Même si elle adorait sa vie ici, elle ne pouvait pas se résoudre à laisser sa mère vivre et se débrouiller toute seule. Elle a donc quitté l’île avec mon père, nous laissant ici moi et ma sœur. A l’époque Emma n’envisageait pas encore de quitter l’île et était convaincue que nos parents reviendraient chez nous rapidement. Mais les années passent, ils ne sont toujours pas revenus et les envies de ma sœur changent. Je sais bien qu’elle ne rêve plus que de quitter l’île pour partir à l’aventure et découvrir ce que c’est de vivre ailleurs. Je sais surtout qu’elle n’ose pas partir seule et pour ma part, je ne me vois pas partir pour l’instant. Je fais donc de mon mieux pour l’accompagner et l’aider à supporter sa vie ici en la lui rendant un peu plus facile. Je fais en sorte de la modeler à mon image il faut bien l’avouer, j’espère qu’elle pourra changer d’avis et acceptera de rester vivre sur l’île en mettant du sien dans la vie des milliardaires qui sont installés là.

Surtout maintenant que ma situation change. Après des années passées sur l’île sans me lier réellement avec le moindre homme présent sur place et ne voulant pas m’attacher à quelqu’un de passage, je me retrouve dans une situation on ne peut plus difficile. Il y a moins de trois mois un jeune homme est arrivé sur l’île, à priori c’est un futur héritier, concerné par tout cet argent à distribuer. Notre première rencontre n’a pas été très évidente, tournant plutôt mal pour une bêtise. J’ai pris la mouche pour un détail complètement idiot et après réflexion je me suis rendue compte que ce n’était qu’un quiproquo. Nous avons donc fait en sorte de régler la question sans se disputer, autour d’un verre puis d’un autre. C’est finalement au lit que ca s’est terminé et ce que nous pensions être une relation sans lendemain se révèle avoir des conséquences que nous n’attendions pas. Je suis enceinte, je viens juste de l’apprendre et ne sais absolument pas comment réagir et l’annoncer au père. Je le connais à peine, je ne suis pas convaincue qu’il accepterait de devenir père et je n’ai absolument aucune idée de comment ca pourrait se passer entre nous. En clair, je me retrouve le dos au mur avec cette grossesse que je vais devoir mener seule. Effectivement pour moi il est hors de question de me débarrasser de ce bébé. Reste à voir l’avenir de cette histoire.

— prénom / pseudo — Sarafine — âge — 23 ans — localisation — France — comment avez vous découvert le forum ? — j’en suis la fondatrice — premières impressions — no comment — activité — présence moyenne de 5 jours sur 7 en dehors des vacances ; possibilités de RP tous les 2 ou 3 jours ; niveau RP moyen de 1000 mots — une question — aucune — un dernier mot — amusez vous bien parmi nous

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Arielle « Ever » Mellark
Arielle « Ever » Mellark


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MessageSujet: Re: Arielle | Est-ce qu'une vie meilleure, nous attend dès demain, ne doute pas puisqu'il est l'heure ...   Arielle | Est-ce qu'une vie meilleure, nous attend dès demain, ne doute pas puisqu'il est l'heure ... EmptyLun 5 Aoû - 11:43


Good news , bad news

Voilà plusieurs jours, quasiment deux semaines à présent, que je me sentais fréquemment mal. Je ne parvenais plus à passer une journée normale sans avoir un problème ou un autre. Un jour une envie de vomir à cause d’une odeur particulière, le lendemain je tournais de l’œil pour un rien. Dans tous les cas je ne parvenais presque plus à manger et pouvais passer mes journées à dormir. Je sentais bien que tout cela n’était pas normal, qu’il y avait quelque chose qui clochait et plus les jours passaient plus je m’inquiétais. J’étais allée voir un médecin il y a quelques jours, me disant qu’il ne fallait pas que je reste trop longtemps dans cet état. Résultat des courses : l’éventualité, d’après le médecin, que je sois enceinte et du coup quelques jours d’attentes supplémentaires le temps de faire une prise de sang et des tests. Je devais retourner ce jour là chez le médecin pour avoir les résultats des examens. Et plus les heures passaient, me rapprochant du moment fatidique, et plus j’avais de mal à rester calme. Je ne pouvais pas envisager l’idée d’être enceinte. Ca n’était pas le moment et pire que tout je n’étais vraiment pas dans la meilleure situation qui soit pour cela. Certes avec le café j’avais un boulot stable que personne ne pourrait me prendre, mais je ne pourrais pas travailler indéfiniment et il me faudrait trouver des personnes pour m’aider à assurer la gestion générale. Et le pire : officiellement j’étais célibataire, je ne connaissais quasiment pas l’homme qui était le père de ce bébé et je ne pouvais certainement pas me permettre de lui annoncer ma grossesse alors que nous avions passés si peu de temps ensemble. Ce n’était pas possible, c’était forcément autre chose, il fallait que ce soit autre chose.

C’est donc avec anxiété, avec angoisse même que je me rendais au centre médical pour mon rendez-vous avec mon médecin. Son assistante m’informa dès mon arrivée qu’il était en retard dans ses rendez-vous et que je devrais donc attendre un peu plus encore. Et c’est certainement ce moment là qui fut le pire de ma journée. Devoir attendre dans cette salle étroite, avec l’impression d’étouffer à cause du stress. Et le temps qui me paraissait long, plus les gens devant moi défilaient et plus j’avais l’impression que le temps s’étirait, devenant interminable. Lorsque vint finalement mon tour, le stress était à son sommet et un regard à mon médecin ne suffit pas à m’aider à m’apaiser. Son visage ne laissait rien transparaitre dans un premier temps et je craignais alors ce qu’il allait avoir à m’annoncer. Etais-je seulement enceinte ? Etait-ce quelque chose de pire encore ? Je pouvais tout à fait avoir une maladie grave et peut-être même incurable. J’entrais dans le bureau, m’installait face à lui, attendant qu’il m’annonce la nouvelle catastrophique concernant ma santé. J’en étais rendue à imaginer que j’étais sur le point de mourir d’une maladie grave. Il lui fallut près de deux minutes pour étudier ou réétudier mes analyses et pour se décider à se lancer. « Arielle … les analyses montrent que tu es bel et bien enceinte. » Ce fut presque un soulagement pour moi alors que j’aurais dut être effondrée de cette nouvelle. A présent au moins j’étais fixée, je savais ce que j‘avais et je n’avais plus à me poser toutes ces questions qui me hantaient depuis mon dernier rendez-vous. Nous discutions durant quelques minutes des solutions qui se posaient à moi, mais je n’avais pas cinquante solutions. Abandonner mon bébé en le faisant adopter ou m’en débarrasser était hors de question. Je devrais donc m’en occuper et affronter cette grossesse. La question qui restait en suspens : serais-je seule ou pourrais-je compter sur le père ? Et là je me doutais que les problèmes ne faisaient que commencer. Parce qu’avant de savoir cela il fallait encore que je lui annonce la nouvelle. Je redoutais sa réaction. Nous avions passé tout juste une nuit ensemble et je me retrouvais enceinte. Ca semblait surréaliste et pourtant c’était la réalité.

Sortant du centre médical, je partais pour marcher un peu, j’avais besoin de réfléchir à comment et quoi faire. Je ne pouvais pas me lancer dans le tas et tout lui révéler d’un coup sans préambule ni rien. Mais en même temps, plus j’attendrais et plus la situation serait compliquée. « Kerwan … je suis enceinte et c’est toi le père. » Ca ne semblait pas si difficile que ca à dire, je parvenais à le penser sans trop de mal. Mais alors que je tentais de le dire dans le vide, pour m’entrainer et voir l’effet que cela me ferait de l’entendre dit à voix haute, les mots ne parvenaient pas à franchir mes lèvres. Et plus je tentais de formuler cette pensée et moins je parvenais à me faire à cette idée. Je regardais tout autour de moi, observant la mer qui roulait à coté de moi et m’arrêtant pour l’observer et tenter de me calmer. Je devais retrouver mes esprits et penser de façon concrète et rationnelle. Je devais avant tout être sure de moi et savoir préciser ce que je voulais faire et si je voulais vraiment tenter l’expérience avec lui. Je pouvais tout à fait élever cet enfant seule après tout. J’étais certainement plus sure de rencontrer moins de problèmes en fonctionnant de cette façon. Pas besoin de m’assurer que je m’entendais avec le père. Pas besoin de compter sur sa présence ou de m’inquiéter de son absence. Pas besoin de se disputer pour savoir comment élever cet enfant. Tellement de questions en moins, ca semblait alors beaucoup plus simple. Mais je serais seule. C’était certainement ce qui me dérangeait le plus. Je ne me voyais pas passer le reste de ma vie seule avec un enfant. J’étais très indépendante certes, mais je ne pouvais pas non plus vivre seule à tout jamais. Parce que je savais bien qu’avec un bébé les rencontres seraient bien plus compliquées. Ou alors je devrais quitter l’île où j’avais toujours vécu et cela je ne m’en sentais pas capable non plus. Tellement de choses à penser, beaucoup trop même. A tel point que rien ne parvenait plus à me calmer, pas même le bruit des vagues et l’odeur et la fraicheur de l’eau. Je me sentais mal et je n’eus pas le temps de m’assoir en douceur que je me retrouvais allongée dans le sable à cause d’un malaise supplémentaire.


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